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Portrait François Curatella

 

François Curatella est magnétiseur à Grenoble. Je ne l’ai jamais rencontré physiquement mais j’échange avec lui depuis plusieurs années. François a su m’apporter son aide et ses compétences quand mon corps et mon âme en avaient besoin. Je le remercie de son accompagnement bienveillant, de sa générosité et de sa confiance.

 

Vous pouvez découvrir ses activités en visitant son site internet :

www.curatella-magnetiseur.fr

 

Il est membre bénévole de l’association grenobloise d’aide et de recherche en oncologie « AGARO » :

www.agaro.org

 

Il a participé à l’émission Enquête de Santé sur France 5, diffusée le mercredi 20 septembre à 20h50.

Intervention avec l’association AGARO (Association Grenobloise d’Aide et de Recherche en Oncologie) dans le cadre d’un documentaire sur le thème suivant: « Hôpital : des soins pas comme les autres« .

 

L’émission ainsi que le débat sont disponibles ci-dessous:

https://www.youtube.com/watch?time_continue=2329&v=VgJs1J9y8Zg

https://www.youtube.com/watch?v=bIFTSXlQvVo

 

Je suis très heureuse de partager avec vous cet entretien, qui sera découpé en quatre parties durant tout le mois.

 

 

 

Comment se déroulent une consultation en cabinet et une séance à distance ? Est-ce la même chose pour vous, le même travail ?

Non. Une consultation en cabinet dure environ une petite heure. Tout d’abord j’aime bien que la personne s’exprime  sur les différentes problématiques qu’elle rencontre, si elle accepte bien sûr d’en parler. Avant cela je me présente ainsi que la méthode utilisée afin d’établir un climat de confiance. Et puis il est important que cette personne sache un peu ce qui va se passer pendant la séance, si je vais toucher les points, si je ne vais pas les toucher, si elle risque d’avoir des picotements, de la chaleur. J’aime bien expliquer la démarche et ce que je fais. Je note les différentes problématiques et je pose des questions sur des problèmes physiques, professionnels, familiaux. Je veux savoir s’il y a de la fatigue, du stress. Ensuite je prends des mesures, j’utilise pour cela un pendule avec des diagrammes, c’est ce qu’on appelle la radiesthésie, ça me permet d’avoir des indications sur la personne. Ensuite on peut passer à la séance. La personne reste habillée, il n’y a que les chaussures à quitter. Juste avant de démarrer je la rassure, je lui dis de ne pas s’inquiéter si elle ressent des picotements, de la chaleur mais parfois ça peut accentuer la douleur. La séance dure à peu près une vingtaine de minutes où je vais toucher quelques points au niveau de la personne et faire aussi des gestes au-dessus d’elle. Et après la séance, de la même manière, je reprends mes mesures et en même temps je lui demande quel a été son ressenti pendant la séance.

 

Quand vous parlez de prendre des mesures, c’est par rapport au taux énergétique, vibratoire ? Vous utilisez des planches ?

Tout à fait, dans ma démarche, au niveau des planches, je n’ai rien inventé, j’utilise celles avec des diagrammes de Bovis ou des diagrammes de Prat voire des diagrammes qu’on fait certains collègues. J’aime bien prendre une échelle de santé alors comme je dis à tout le monde ce sont mes propres mesures, ça m’appartient. Ça peut-être comment vibre la personne ? Comment elle se situe entre le ciel et la terre, c’est-à-dire à la manière d’un arbre, en haut il y a les branches et en bas il y a les racines, je leur explique. En haut il y a une certaine ouverture et en bas un certain ancrage. Quand une personne est en dépression et qu’elle a l’impression de tourner en rond, on s’aperçoit qu’en haut c’est plutôt fermé et même au niveau de l’ancrage, il n’y en pas trop. Il n’y a pas une source d’énergie assez importante qui rentre. Si je prends par exemple une personne, un enfant qui a des troubles physiques, en haut, au niveau de ses branches, il va être très ouvert, très sensible, très connecté par contre au niveau de ses racines, c’est comme s’il n’était pas ancré ou très peu ancré donc souvent pas là.

J’ai une autre échelle où je mesure le taux vibratoire du lieu d’habitation de la personne pour voir s’il n’y a pas de soucis et ensuite, c’est un peu particulier, mais je regarde ce que la personne peut porter sur elle. Quand je dis ça, il faut toujours être mesuré. Par exemple dans un deuil, on peut porter un lien un petit peu toxique avec le proche décédé. Je peux aider la personne à se libérer de son chagrin en lui envoyant l’énergie nécessaire de façon à couper le lien toxique et à ne laisser que le lien d’amour.

 

Et pour une consultation à distance, quelle est la différence pour vous ?

La manière de travailler sera uniquement différente dans la séance pure. Si je n’ai pas vu la personne, j’aime bien avoir une photo, en revanche des personnes que j’ai déjà vues, je n’en ai pas besoin. L’entretien se fera de la même manière du début et à la fin mais par téléphone. Au lieu de faire la séance sur une table, je la ferais directement avec mon pendule. C’est comme si je rentre en connexion avec la personne. Je peux rajouter que pour moi il n’y pas de distances. Je travaille en ce moment sur une personne qui est en Belgique, une autre au Luxembourg.

 

Est-ce que vous vous protégez parce qu’il ne faudrait pas que vous récupériez ce que vous nettoyez ?

Je suis comme les autres, je suis humain. La seule protection que j’ai est ma phase de connexion avec la force de création, la lumière, la présence de mes guides, de maîtres ascensionnés. Quand je suis connecté, je suis dans une forme de protection si on peut dire ça comme ça. C’est vrai qu’on peut à un moment donné être affecté. Il m’est arrivé d’être moins bien, fatigué, cela prouve qu’il y a des choses qui peuvent nous traverser. Dans ces cas-là, je demande que ces choses qui ne m’appartiennent pas partent et soient transmutées dans la lumière. Je vois aussi notamment mon ami de longue date de temps en temps pour un nettoyage.

C’est vrai que parfois je vois des gens démunis parce qu’ils ont tenté différents outils ou des gens en fin de vie mais dans ma démarche, je fais ce que je dois faire au moment où je vois la personne et je dirais que presque ça ne m’affecte pas. C’est son problème, c’est son chemin de vie, je suis là à 100 % pour l’accompagner mais ça lui appartient. Il est essentiel pour moi de couper à la fin de chaque séance afin de ne pas être envahi.

 

Pour vous ressourcer, que faites-vous ?

J’aime bien la méditation. Je l’ai connue il y a une trentaine d’années. Je dirais que c’est plutôt ma méditation, je l’ai adaptée à ce que j’ai envie de faire. Je demande à être aligné, ré ancré, ouvert et à être régénéré au plus profond de mes cellules. Ça se passe plutôt bien avec la méditation.

Pour me ressourcer, j’aime bien également aller courir, marcher, faire de la randonnée, du ski…

 

Découvrez la dernière partie lundi prochain…

 

 

Valérie Motté

"AVEC NOS PENSÉES NOUS CRÉONS LE MONDE" BOUDDHA

Copyright : Valérie Motté

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