
Pourquoi avoir accepté d’éditer Douceurs angéliques ?
Le choix d’un projet éditorial repose toujours sur plusieurs raisons.
J’ai été très fière et très heureuse de publier cet ouvrage que je trouve magnifique et qui serait nécessaire dans la bibliothèque de beaucoup plus de monde. Je le garderai précieusement avec moi.
Qu’est-ce qui t’a le plus plu dans ce projet finalement ?
Sa diversité, sa variété. C’est un ouvrage qui est réellement complet, du coup plus difficile à présenter mais en même temps très riche parce que pour chaque thématique, on a une notion, on peut piocher dedans. C’est comme des bonbons, on peut choisir le parfum qu’on a envie de goûter ce jour-là, entre les pierres, les plantes… Il y a même une bibliographie pour aller plus loin. C’est cette douceur qui me plaisait énormément.
Quel est ton ange préféré dans cet ouvrage ?
C’est compliqué de choisir mais j’aime beaucoup l’ange de la lumière. J’ai un faible pour la couleur jaune qui est une couleur très difficile, tu ne peux pas vraiment la porter, tu ne peux pas réellement la mettre sur des couvertures de livres…
Pour toi que représentent les anges ?
Il y a une grande part de moi – liée à mon éducation – pour laquelle les anges sont issus de la religion et en même temps je pense qu’ils ne sont pas juste enfermés dans un type de croyance. Ils sont une forme de protection parce qu’on dérive toujours vers le côté ange gardien. Ils sont des entités présentes autour de nous au quotidien et qui nous apportent toutes les choses dont on a besoin même quand parfois on ne le sait pas.
Est-ce que tu penses que tu as un ange gardien ? Tu le ressens ? Tu sais qui c’est ?
Non, je ne sais pas qui il est mais je pense que j’en ai un parce que je trouve que j’ai sacrément du bol. Quand on a des choses bien dans la vie, on se dit qu’on ne doit pas être tout seul, qu’on doit bien être protégé. Même quand il y a des petites crottouilles parce qu’ils ne peuvent pas tout faire non plus.
Nous sommes en décembre, est-ce que Noël est une période que tu aimes ?
Je vais faire ma crâneuse car décembre est un mois qui m’est consacré : il y a ma fête, mon anniversaire et Noël. C’est un mois qui me met en joie. On s’approche des fêtes de fin d’année, les gens commencent à mettre les décorations… Noël a toujours représenté la famille et c’est quelque chose de très fort, même lorsqu’on est en petit comité. J’ai trop ancré en moi tout ce qu’on faisait (je déteste décorer le sapin mais ça, c’est une chose). J’ai des souvenirs avec ma mère, ma sœur et mon frère, on était quatre mais on passait un super réveillon et on en profitait. C’est partager avec sa famille.
Et si tu avais une baguette magique à quoi te servirait-elle ?
J’hésite à être très égoïste (rires) ou à être altruiste.
Malheureusement, je vais être assez égoïste, je crois que ma baguette magique me servirait à me télétransporter.
En fait, chaque fois que j’ai besoin d’aller quelque part, elle me permettrait d’avancer et comme ça, je ferais encore moins de sport. Ce serait formidable, pouvoir se déplacer à son gré. (rires)
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Lundi prochain, Stéphanie Roze, illustratrice du livre sera mon invitée…
Copyright : Valérie Motté