https://www.marieliselabonte.com
http://www.anschma-international.com
http://www.anschma-international.com/seminaire-accompagnement-dames/
http://www.editions-tredaniel.com/devenir-matre-de-sa-vie-cd-p-7994.html
J’ai découvert que votre livre est une version réactualisée De l’ange à l’archange, que vous aviez écrit seule au départ. Pour celui-ci, vous avez travaillé en collaboration avec Jérôme Angey.
M L : c’est mon feu époux qui avait fait les corrections de la première édition.
J : L’ouvrage date de 1999. C’était juste avant le passage vers le 2èmemillénaire.
Comment vous êtes-vous rencontrés ?
J : c’était une rencontre mystérieuse. J’étais en pleine période mystique en Inde – pays ou j’ai travaillé – c’était trois ans avant de rencontrer Marie Lise. Je cherchais un pont entre l’Orient et l’Occident. Ma mère connaissait Marie Lise car elle faisait la formation MLC, c’est une méthode de mouvements d’éveil corporel. Ça faisait des années qu’elle me proposait de faire un séminaire avec Marie Lise. Je n’étais pas encore prêt. Et puis j’ai arrêté mon travail de guide touristique et j’ai eu une période transitoire en France. Je cherchais à changer de profession pour devenir thérapeute en soins énergétiques lorsque qu’à cette période ma mère m’a refait la proposition d’aller à un stage à Bruxelles avec Marie Lise, j’étais enfin prêt. C’était le jour de mon anniversaire.
M L : c’était le séminaire, corps cuirasse croyances. Trois jours en retrait.
J : j’ai découvert Marie Lise côté public et côté privé car nous habitions au même endroit pendant le séminaire. Il y a eu une reconnaissance entre nous et l’Inde nous a réunis. Je lui ai proposé d’accompagner un voyage thématique avec elle. On a réussi à se retrouver ensuite à Paris.
Des retrouvailles d’âmes…
M L : oui définitivement. J’étais en plein deuil de mon époux. Ça faisait deux ans qu’il était décédé quand j’ai rencontré Jérôme. Je rêvais de faire un voyage en Inde mais je ne trouvais pas la personne idéale. Jérôme a fait le lien et il m’a accompagnée dans ma période de deuil et de réparation. Mon époux est mort d’une façon assez violente, j’ai failli mourir aussi. J’étais en réaction avec tout l’au-delà. J’ai décidé de prendre une distance avec le channeling. Ça m’a pris du temps avant d’y revenir. Après la mort de mon époux, j’avais bien envie de partir le rejoindre mais finalement Jérôme a été un lien d’ancrage pour moi. En plus de la découverte de l’Inde, il m’a aidée à reprendre en charge, l’école énergétique, que j’avais créée avec mon époux. C’est tout un univers. J’étais en deuil, c’était difficile. Il m’a aidée à refaire le lien avec le monde énergétique. C’est là où certains livres comme Familles d’âmes ont enfin vu le jour… C’est là qu’on a commencé à collaborer.
J : je connaissais les livres de Marie Lise bien avant de l’avoir rencontrée. Il faut dire que dans les années 90 jusqu’à l’an 2000, il y avait très peu de livres sur les dimensions énergétiques. Il y avait Barbara-Ann Brennan qui avait fait Les mains de lumière et puis il y avait Marie Lise Labonté. Le livre Les corps de lumière sortie en 1995 – à cette époque il s’appelait La guérison spirituelle angélique – décrivait de nombreuses configurations qui sont rencontrées dans les corps subtils, en lien avec certaines maladies ou symptômes. C’était inédit et cela le reste encore. Il était donc possible d’établir un diagnostic avec les mains. Quand je suis tombé sur ce livre, j’ai tout de suite été impressionné comme s’il y avait un appel pour moi dans la vitrine de la librairie et c’est à partir de là que j’ai eu beaucoup de curiosité pour Marie Lise et ses enseignements. Quand je l’ai rencontrée et que j’ai vu qu’elle mettait cette dimension de côté, il y a eu comme un élan à la soutenir dans ce processus.
M L : tu m’as bien soutenue pendant des années et encore…
J : ces livres représentent beaucoup de travail. Il y a un formateur, Paul André Latulippe, de l’école Anschma©, cette école d’énergétique, qui a consacré pratiquement dix ans de sa vie à actualiser des enseignements sur les chakras. Toutes ces personnes travaillaient pour soutenir les enseignements en transmission. Il ne manquait que des petits coups de pouce pour que ça puisse se mettre en place.
M L : l’ouvrage de L’ange à l’archange a connu un très grand succès. J’avais plein de retours des gens qui disaient « c’est une bible, on le met à côté de notre lit, on l’ouvre puis on lit mais en revanche on aimerait bien que tu refasses les méditations avec ta voix. » Je disais : « pas maintenant je n’ai pas le temps. »
Et puis avec Trédaniel et Jérôme, on a décidé que ça serait bien de reprendre L’ange à l’archange. Jérôme a consacré des mois de travail à rendre les textes encore plus accessibles. C’était incroyable le travail que tu as fait. Ce livre, pour moi, il est magnifique, il est beaucoup plus concret sur le message à transmettre. Le message est beaucoup plus direct. Jérôme ne l’a pas changé mais il l’a rendu plus accessible.
Plus actuel peut-être…
M L : oui il est très actuel.
On est vraiment dans ce changement de conscience, d’éveil.
J : tout à fait. C’est vrai, quand je l’avais lu, il m’avait permis un changement de conscience, même si j’étais déjà dans une belle avancée à cette époque, parce qu’il parlait de la vision, de retrouver la vision de son âme. J’ai été marqué par ce livre en ce passage du 2èmemillénaire. Comme j’ai eu la possibilité de connaître Marie Lise dans ses enseignements en transmission pendant plus de quinze ans, quand je suis revenu sur le texte du livre – ces textes étaient donnés en conférence, il y avait encore des parenthèses (rires dans la salle) – il est devenu évident qu’il fallait faire une synthèse. C’était un travail pour simplifier et amener des éléments pour une compréhension plus globale. J’ai réactualisé un petit peu, le message est toujours le même, mais il est encore plus percutant, je pense.
Oui. C’est un livre très lumineux qui donne beaucoup de réponses. Il y a plusieurs niveaux de lecture suivant son cheminement.
M L : Exactement. Ce livre amène à une réflexion. Ce n’est pas seulement donner une forme de vérité. Il y a beaucoup de réflexions sur soi. Il y a beaucoup de questions qui amènent à réfléchir. J’aime beaucoup ça.
J : notamment et les sujets sont très puissants. Ce sont des sujets dans lesquels nous sommes tous confrontés au quotidien surtout le thème de l’ombre et la lumière.
Ce livre nous accompagne sur notre chemin de vie d’incarnation terrestre mais aussi spirituel. Comment avez-vous amené cela ? Est-ce par canalisation ?
M L : oui, les anges, pendant des années, ont tenté de relier le ciel et la terre, c’est-à-dire d’amener une conscience dans l’ici-bas et de rendre accessible cette dimension de divinité de l’être. De relier les plans de conscience aussi, d’aider les gens à grandir tout en gardant son propre pouvoir, sa puissance. C’est à nous de faire le travail. Les consciences angéliques, archangéliques ont toujours diffusé l’idée que tout est relié dans l’univers, tout est sacré. Alors que des séparations peuvent être créées par des croyances spirituelles ou par le matérialisme. Ils réussissent dans leurs enseignements à relier les mondes, ce qui revient au niveau de l’être humain à prendre conscience de l’axe de la verticalité, la base, le coeur, la conscience. C’est toujours cette recherche. Ça c’est au niveau des transmissions en channeling. Et puis de mon côté, je suis certainement influencée par toutes les épreuves que j’ai rencontrées. Elles m’ont obligée à me relier.
Découvrez la suite tout à l’heure…
Copyright : Valérie Motté