François, vous vous définissez plus comme un magnétiseur ou comme un guérisseur ?
Le nom n’est pas très important. Je suis déclaré en tant que magnétiseur, coupeur de feu mais ça ne me gêne pas qu’on me dise guérisseur.
Pourriez-vous nous définir le magnétisme ?
Je considère qu’on baigne tous dans une énergie qui nous entoure. On y est tous connecté. Cette énergie représente pour moi le magnétisme. Cette connexion avec – on pourrait la nommer – une force de création, la lumière, un grand tout voire Dieu, l’appeler ainsi ne me gêne pas. Je considère que tout le monde a du magnétisme puisqu’on est tous relié à ce grand tout. Il y a des personnes dont je fais partie qui, à un moment donné, peuvent avoir un peu plus de connexion avec cette énergie et qui peuvent ainsi accompagner et soulager des personnes en souffrance.
À quel moment, avez-vous su que vous pouviez guérir, aider, soulager ? Que vous étiez magnétiseur ?
Ce domaine-là m’a toujours intéressé, je ne savais pas que je pourrais un jour faire ce que je fais. J’ai un ami, avec qui je travaillais en maintenance informatique au centre d’études atomiques à Grenoble, très sensible. Il avait déjà un cheminement spirituel depuis plusieurs années et il me disait que je serais thérapeute. À l’époque, il y a une trentaine d’années, ça m’amusait beaucoup. Par la suite, effectivement, j’ai vécu des expériences un petit peu particulières avec ce monsieur qui m’ont fait prendre conscience de certaines choses incroyables. Au fil du temps et des rencontres, j’ai pu mettre en évidence, et ce depuis une vingtaine d’années, le fait que je pouvais accompagner des personnes, les aider à se débarrasser de problématiques (physiques, psychiques, mentales ou autres).
Et alors quel a été vraiment le déclic de cette prise de conscience ? Y a t-il eu un élément déclencheur particulier ?
J’ai suivi des formations, j’ai rencontré des personnes qui m’ont guidé comme si elles savaient réellement ce que je pouvais faire. Au départ, bien entendu dans ce domaine-là, on teste sur la famille proche. J’avais un enfant qui avait des verrues qui ne partaient pas. Il avait essayé beaucoup de traitements et un jour il me dit « ben papa tu pourrais pas faire quelque chose toi ? » Je lui ai répondu que j’allais essayer. À ce moment-là je n’utilisais que mon pendule sans mes mains et donc j’ai travaillé sur les verrues, trois semaines après, il n’y avait plus de verrues du tout ; c’était il y a vingt, vingt-deux ans. Ça était un petit peu le déclencheur.
Ça vous a donné une certaine confiance sur ce que vous pouviez faire ?
Tout à fait.
Vous parliez d’expériences particulières avec l’ami avec lequel vous travailliez. Pouvez-vous nous en parler ?
Nous étions sur un gros site, un centre nucléaire. Nous allions manger de temps en temps ensemble et nous allions à l’extérieur un peu se promener. Assez régulièrement quand j’avais l’occasion de me balader avec lui, je me sentais envahir, comme s’il y avait une chose qui descendait de la tête jusqu’aux pieds. Au départ, ça m’a surpris et je lui ai dit : « je sens comme une couverture qui se pose sur moi mais c’est agréable. » Il m’a regardé avec un large sourire en me disant : « ce sont nos guides qui sont là. »
C’est beau !
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Copyright : Valérie Motté