Portrait de François Curatella

 

François Curatella est magnétiseur à Grenoble. Je ne l’ai jamais rencontré physiquement mais j’échange avec lui depuis plusieurs années. François a su m’apporter son aide et ses compétences quand mon corps et mon âme en avaient besoin. Je le remercie de son accompagnement bienveillant, de sa générosité et de sa confiance.

 

Vous pouvez découvrir ses activités en visitant son site internet :

www.curatella-magnetiseur.fr

 

Il est membre bénévole de l’association grenobloise d’aide et de recherche en oncologie « AGARO » :

www.agaro.org

 

Il a participé à l’émission Enquête de Santé sur France 5, diffusée le mercredi 20 septembre à 20h50.

Intervention avec l’association AGARO (Association Grenobloise d’Aide et de Recherche en Oncologie) dans le cadre d’un documentaire sur le thème suivant: « Hôpital : des soins pas comme les autres« .

 

L’émission ainsi que le débat sont disponibles ci-dessous:

https://www.youtube.com/watch?time_continue=2329&v=VgJs1J9y8Zg

https://www.youtube.com/watch?v=bIFTSXlQvVo

 

Je suis très heureuse de partager avec vous cet entretien, qui sera découpé en quatre parties durant tout le mois.

 

 

 

Quel est votre parcours ?

Pendant vingt-sept ans j’ai été technicien de maintenance informatique puis je suis devenu responsable d’une petite équipe. À la fin de mon contrat, ça se passait très mal, je devais à l’époque faire de l’itinérance. J’étais en mission sur le site du CHU de Grenoble. Parallèlement, je travaillais déjà en magnétisme et en soins. Des personnes éveillées tels que des astrologues, médiums et ostéopathes que je côtoyais me disaient : « Tu sais que tu vas uniquement faire ça maintenant ! » À l’époque, j’avais une famille, des enfants, des prêts pour une maison alors je refusais l’idée. Je préférais exercer le magnétisme sur mon temps libre, je voulais la sécurité matérielle. Mais j’ai eu un licenciement économique et donc j’ai vraiment pris conscience que c’était ma voie et qu’il fallait que je le fasse, que c’était le bon moment. Le plus drôle est que partout où je passais, on m’envoyait des clients. Je pense que cela m’a réconforté et montré le chemin que je devais prendre.

 

Cela veut dire que tout est aligné et que tous les signes sont réunis, on ne peut plus nier notre mission. Je pense que la vie nous remet sur le bon chemin quand on s’égare en faisant des choix uniquement matériels. À ce moment-là, il y a un accident de la vie qui nous met face à qui nous sommes vraiment. J’ai pu le vérifier par moi-même.

C’est vrai que ce licenciement économique est tombé au bon moment car honnêtement je n’aurais jamais fait le pas de prendre le risque de ne faire que ça.

 

 

Le mental est trop pris dans cette zone de confort et puis on vit aussi dans une société avec des réalités matérielles…

Tout à fait mais il faut aussi rester dans cette réalité puisqu’on a besoin de gagner notre vie. Je me disais que, si à un moment donné, je ne gagnais pas ma vie avec ça, et bien je le ferais à côté. Toutes les personnes que j’ai rencontrées m’ont dit : « ta place c’est celle-ci et il faut que tu mettes tout en œuvre pour le faire ! » Ça a pris de l’importance en peu de temps et puis tout d’un coup tout s’est ouvert, je me suis mis à rencontrer plein de gens thérapeutes, ostéos… que je ne croisais pas du tout avant. C’était le bon moment.

 

 

Quelles sont les maladies ou/et problématiques que l’on peut soigner avec le magnétisme ? Vous parliez précédemment des verrues de votre fils…

J’ai l’habitude de dire aux patients que je ne me limite jamais. Tout est possible et ce sont les personnes elles-mêmes qui se créent leurs propres limites. Ma porte d’entrée est liée aux douleurs, inflammations, brûlures. On vient me trouver pour des zonas, des maladies de peau mais aussi des douleurs articulaires, tendinites qui ne passent pas en médecine traditionnelle, ça peut être aussi des migraines à répétition, des insomnies, des suites de radiothérapie, de chimiothérapie. Je fais ça dans un cadre privé mais je peux me rendre aussi à l’hôpital ou à domicile quand les gens ne peuvent pas se déplacer. Depuis six ans, je donne de mon temps pour une association qui s’appelle AGARO, c’est l’association grenobloise d’aide et de recherche en oncologie. Nous sommes à peu près une trentaine de bénévoles, maintenant nous sommes deux magnétiseurs coupeurs de feu depuis peu. À mon cabinet, je reçois des personnes en chimiothérapie mais aussi des enfants, en bas âge, pour des problèmes de peau, de sommeil. On peut me consulter également pour des tics, des tocs, un mal être, des déprimes, des dépressions, des burn-out, cela est fréquent. Mais aussi pour d’autres pathologies diverses et variées comme par exemple une fibromyalgie, une sclérose en plaques, une paralysie faciale ou des problèmes de cicatrisation. La seule limite est de se dire que l’on fait une séance et on regarde les bénéfices que la personne en tire. Si elle a envie de revenir, au bout de deux séances, pour moi, c’est réglé. Il faut qu’il y ait quelque chose qui se passe. Si rien ne se passe, ce n’est pas la peine de faire revenir la personne. Je considère qu’il faut toujours rester dans cette optique.

 

 

Alors comment expliquez-vous qu’au bout de deux séances, il ne se passe rien ? Qu’est-ce qui peut bloquer dans ces cas-là ?

Quel est mon rôle ? Comme je le disais au début, on baigne tous dans cette énergie qui nous entoure. On va me permettre un peu plus dans l’échange avec la personne. Et dans cet échange, je viens juste servir d’intermédiaire, je viens faciliter les choses tout simplement. Quand une personne vient me trouver, c’est comme si elle était prête vibratoirement. Je suis là pour la libérer d’un choc émotionnel par exemple.

Si ça ne fonctionne pas, je pense que la personne ne veut pas.

 

C’est inconscient…

Oui inconsciemment. Je vais prendre un exemple précis. Un médecin généraliste à la retraite, qui a un zona au bras, vient me trouver, il y a à peu près un an et demi. Il est forcé un peu par ses enfants parce que son zona lui fait mal depuis six mois. Je fais une séance puis deux, je fais une séance aussi à distance, rien ne se passe, je me dis que ce n’est pas la peine d’aller plus loin. Inconsciemment je pense que ce monsieur n’est pas prêt à lâcher sa problématique.

 

 

 
Découvrez la suite lundi prochain…

 

 

Valérie Motté

"AVEC NOS PENSÉES NOUS CRÉONS LE MONDE" BOUDDHA

Copyright : Valérie Motté

RSS
Facebook
Twitter
LinkedIn
Instagram