Géraldine Garance est médium karmique et auteure. Elle est dans un parcours de flammes jumelles. Son coffret « Le tarot des flammes jumelles », illustré par Bénédicte Gonzalez vient de paraître aux éditions Exergue.

http://www.editions-tredaniel.com/le-tarot-des-flammes-jumelles-coffret-p-8492.html

 

Pour découvrir son univers :

https://www.medium-geraldinegarance.fr

 

Sa chaîne Youtube :

https://www.youtube.com/Géraldine Garance

 

 

« Les Rencontres lumineuses » de février sont consacrées aux flammes jumelles. J’ai découvert ce terme il y a presque deux ans. Tout s’est éclairci et j’ai pu poser des mots sur l’une de mes plus belles et troublantes histoires d’amour. Quand j’ai rencontré mon autre – ça remonte à presque trente ans – je m’interrogeais sur une chose, comment pouvais-je aimer mon jumeau ? J’ai enfin la réponse, c’est merveilleux ! Nos parcours respectifs se suivent toujours même si le contact est rompu à certains moments. Le lien est toujours présent et énergétiquement vibrant. Je remercie profondément cet homme car j’ai énormément travaillé sur moi, connu ce qu’on appelle « la nuit noire de l’âme » – même si d’autres après lui ont bien accentué les blessures qu’il me restait à transmuter – , je suis aujourd’hui en paix, libérée d’un certain poids karmique, libre et sans attente aucune.

 

« Le tarot des flammes jumelles » est très puissant, les messages justes. Ces éclairages ne font que confirmer ce que mon âme sait depuis l’éternité. Je remercie Géraldine de ce partage lumineux et de nos échanges.

 

 

Dans le parcours flammes jumelles, on parle de la nuit noire de l’âme, je l’ai moi-même vécue, il y a des années. Pouvez-vous nous l’expliquer ?

C’est une petite mort. On meurt à soi-même pour renaître ensuite de ses cendres mais c’est une dégringolade qui va jusqu’au fin fond du tréfonds de soi. Et ce n’est que lorsqu’on lâche complètement prise, qu’on ne s’attache plus à rien, qu’on commence à renaître. La nuit noire de l’âme permet d’enlever les blessures, les scories, tout ce à quoi on se rattache. Dans la nuit noire de l’âme, on est tellement plus rien qu’on n’a même plus de quoi s’accrocher à quoi que ce soit. En acceptant de lâcher, on commence à changer et à renaître. C’est une renaissance pour aller plus vers l’âme moins vers la personnalité terrestre égotique. C’est vraiment un parcours difficile. Ce n’est pas une dépression nerveuse mais il n’y a plus de joie, on se demande ce qu’on fait là, tout est fade. C’est une phase difficile mais c’est un passage obligé dans ce parcours car il permet de trouver son âme, de se trouver. Sans être passé par cette nuit noire de l’âme, on ne peut savoir vraiment qui on est.

 

On sait qu’il y a plusieurs étapes dans ce cheminement. Comment vous les nommez ?

La première phase c’est la reconnexion. Elle peut se faire par la voix, par le visuel, en se regardant, ou par le toucher en se serrant la main ou bien par rapport à l’aura. La reconnexion peut se faire de suite ou parfois on peut fréquenter la personne pendant un ou deux mois et puis la reconnexion se fait d’un coup.

La deuxième phase, c’est ce que j’appelle la lune de miel. On est euphorique, on a l’impression d’avoir quinze ans, des petits papillons dans le ventre, des fleurs bleues partout, l’estomac noué. Et puis comme les âmes sont là pour se faire bosser, qu’il y a énormément de peurs réciproques parce que ça fait remonter toutes les blessures d’âmes qu’il y a eu au fil des incarnations, vient la troisième phase, celles des blessures égotiques. De plus en plus, il y a des frictions parce que les âmes reconnaissent qu’à chaque fois ça s’est mal passé, donc c’est difficile jusqu’à la phase de séparation. C’est un passage obligé. Elle peut durer quelques heures, quelques jours, quelques années. Il peut y avoir du contact puis à nouveau séparation ou une seule grande séparation. C’est un peu différent pour chacun. Les deux sont tellement en souffrance. Il y a celui ou celle qu’on appelle le runner ou l’âme non éveillée à la base, qui est très éveillé en fait parce qu’il sait d’instinct dès le départ alors que le chaser ne sait pas au départ puis ensuite ça s’inverse. Le runner est tellement en souffrance qu’il prend la fuite, qu’il donne l’impression de prendre la fuite mais c’est une sauvegarde. C’est ainsi qu’il va faire travailler son chaser. Après la séparation, vient la nuit noire de l’âme. Puis on commence à faire la compensation. Énergétiquement le chaser a travaillé et vibratoirement toute l’énergie se déporte vers le runner, vers son binôme pour que lui bosse de son côté.  Ensuite il y a la complétude. Après vient la réconciliation puis la réunion et la fusion.

 

Au niveau timing c’est propre à chacun. Ça peut être très rapide chez certains et très long chez d’autres ?

Ça s’accélère quand même pour toutes les nouvelles flammes jumelles qui se reconnectent maintenant. Depuis août 2012, il y a eu un portail énergétique énorme et ça s’est accéléré. Les flammes jumelles qui se sont rencontrées avant août 2012, on les  appelle les vieilles flammes jumelles, leur réunion peut prendre 20 ans ou plus. 

 

Me concernant ça va faire presque 30 ans car c’était au début des années 90.

C’était les premières flammes jumelles qui sont venues se reconnecter pour commencer à poser les nouvelles énergies. Elles ont préparé le terrain pour les nouvelles flammes jumelles.

 

 

 

Découvrez la dernière partie lundi prochain…

 

Retrouvez les articles précédents :

https://valeriemotte.com/geraldine-garance-1-4/

https://valeriemotte.com/geraldine-garance-2-4/

 

Valérie Motté

"AVEC NOS PENSÉES NOUS CRÉONS LE MONDE" BOUDDHA

Copyright : Valérie Motté

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