Elisabeth Horowitz, psychopraticienne, est l’auteure de nombreux ouvrages de développement personnel (psychogénéalogie, symbolisme, chamanisme, synchronicité). Son dernier livre « L’action qui libère » 200 actes et rituels symboliques vient de paraître aux éditions Guy Trédaniel.

https://www.editions-tredaniel.com/laction-qui-libere-p-9738.html

 

Pour découvrir son univers :

www.elisabeth-horowitz.fr

 

 

Les « Rencontres lumineuses » d’avril sont consacrées à la psychogénéalogie et aux actions qui libèrent… Elisabeth Horowitz est mon invitée. Je la remercie de ses éclairages. Chaque lundi, vous découvrirez une partie de son entretien.

 

 

Vous êtes psychopraticienne, quel est votre parcours ?

Études de lettres et de Psychologie (DEUG), puis activité de psychothérapeute en cabinet à Paris pendant 10 ans (1992-2003).

Puis fondatrice de l’association française de Psychogénéalogie en l’an 2000. Auteure de divers ouvrages en transgénérationnel (secrets de famille, chronogénéalogie, histoire familiale et santé, etc.). Conférencière et animatrice de séminaires. 

 

Pouvez-vous nous présenter la psychogénéalogie ?

La Psychogénéalogie s’intéresse à l’influence que peut avoir la vie de nos parents et aïeux sur notre propre parcours. Cette influence est habituellement mal connue du fait que nos parents et grands-parents parlent peu (ou pas) et qu’ils peuvent également cacher des informations importantes (non-dits, secrets, réinterprétation des faits, etc.). À minima, une courte enquête est souvent nécessaire.

 

À qui s’adresse-t-elle ?

À tout le monde, étant donné que chacun.e d’entre nous est l’héritier d’une histoire familiale riche en événements. Nous héritons tous de deux branches distinctes (la branche maternelle et paternelle), dont les trajectoires sont habituellement différentes.

 

À quoi sert-elle ?

À comprendre que nous héritons de ce qui s’est passé avant nous (à une, deux, voire trois générations en arrière). Nous sommes le produit d’une histoire (au sens large), qui nous a précédé et dont nous ignorons beaucoup de choses. Concrètement, nous héritons d’un prénom, d’une place (ainé, cadet, enfant de remplacement), d’un statut social et culturel, d’un capital affectif variable mais aussi d’expériences de vie et de traumatismes non surmontés dans les générations précédentes (séparations, deuils précoces, échecs professionnels et sentimentaux, relations extra-conjugales, etc.). Nos difficultés (sentiment d’abandon, complexes d’infériorité, de culpabilité, mal-être, dépression, etc.) ne sont, en général, pas les nôtres. Elles sont héritées des grands-parents, oncles et tantes, etc.

 

Comment l’avez-vous découverte ?

Au début des années 80, il y a quarante ans ! Via un article dans un magazine. Cela m’a véritablement interpelée à l’époque !

 

 

Découvrez la suite lundi prochain…

 

 

 

Valérie Motté

"AVEC NOS PENSÉES NOUS CRÉONS LE MONDE" BOUDDHA

Copyright : Valérie Motté

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